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Disparition d’Emile : « Les enquêteurs espèrent retrouver au moins un petit corps », explique un général de la Gendarmerie au micro d’RTL

L’ancien directeur de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, François Daoust, a expliqué comment va se dérouler la nouvelle phase de l’enquête sur la disparition d’Emile. 

Après trois semaines de recherches pour retrouver l’enfant de deux ans et demi dans le hameau du Haut-Vernet et ses alentours, des équipes cynophiles spécialisées dans la détection de restes humains ont été déployées ce mardi 25 juillet. Pour François Daoust, l’enquête est entrée « dans une nouvelle phase » car l’objectif « n’est plus dans la recherche de l’enfant vivant qui était la première phase. Là, les enquêteurs espèrent retrouver au moins un petit corps ou des restes d’un corps ».

Cette zone de recherches de 5 kilomètres autour de la maison des grands-parents où était le petit garçon, « c’est la zone de marche en terrain accidenté, possible pour un petit garçon de 2 ans. Au-delà, ce n’est qu’hypothétique. 5 kilomètres en zone accidentée, c’est un terrain très large. C’est l’équivalent d’une scène de crime de plusieurs dizaines d’hectares, c’est très complexe », assure-t-il. 

« Parmi les hypothèses qui sont sur la table, il y a toujours celle de l’enlèvement d’opportunité. C’est la seule hypothèse où on peut se dire qu’il y a une chance de retrouver l’enfant vivant. Mais cette hypothèse, elle est extrêmement ténue, fine. C’est infime », affirme l’expert.

Rédigé par pandore

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