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Trois mois après le déclenchement de
l’alerte « l’urgence attentat », à la suite de l’attaque terroriste perpétrée dans le lycée Gambetta à Arras, l’exécutif a repassé le plan Vigipirate au niveau d’alerte 2 « sécurité renforcée – risque attentat ».
Le 13 octobre dernier, après l’attaque terroriste perpetrée au lycée Gambetta à Arras, Élisabeth Borne avait activé le dispositif « urgence attentat », permettant d’assurer la mobilisation exceptionnelle de moyens à travers la France. Trois mois plus tard, le 15 janvier dernier, l’exécutif a décidé de repasser le plan Vigipirate au niveau d’alerte 2
Le gouvernement a jugé que les risques de nouveaux passages à l’acte étaient aujourd’hui moins importants. Le pays devrait cependant rester dans le cadre du plan Vigipirate avec l’organisation des J.O. qui constitue le défi majeur de l’année en matière de sécurité.
«Léger reflux» des actes antisémites en 2024, après +1000% en trois mois
Si la guerre continue de faire rage entre Israël et le Hamas, les craintes de nouveaux passages à l’acte ont baissé en intensité ces dernières semaines.
Parallèlement, un «léger reflux des actes et des agressions antisémites» a été récemment observé au sommet de l’État, où le ministère de l’Intérieur recense quotidiennement ces données
