en

OMGOMG

Une enquête ouverte après la diffusion de photos pornos attribuées à des gendarmes

Un scandale impliquant des gendarmes mobiles d’Antibes, dans les Alpes-Maritimes, a récemment éclaté après la circulation de quatre clichés pornographiques explicitement dérangeants. Ces images, attribuées à des membres de la gendarmerie, ont d’abord été partagées dans des groupes Facebook privés réservés aux gendarmes, mais ont finalement fuité au-delà de cette sphère privée, attirant l’attention des médias. 

Images pornos

Les clichés mettent en scène une femme participant à des jeux sexuels avec des armes de service, notamment un tonfa et un pistolet Sig Sauer, tous deux équipés de préservatifs, pénétrant ses parties intimes. De plus, un écusson « escadron de gendarmerie mobile 24/6 Antibes » est visible sur l’une des photos, ajoutant une dimension choquante à l’affaire.

Sur d’autres images, la femme est représentée tenue en laisse, pratiquant une fellation sur un, puis deux hommes, tous deux portant des polos marqués « gendarmerie ». Ces images, qualifiées d’impubliables, soulèvent des préoccupations éthiques et morales quant à l’utilisation d’armes de service et d’uniformes militaires dans un contexte sexuel, ainsi que la diffusion de telles images sur les réseaux sociaux, même au sein d’un cercle restreint.

Dénonciation

L’histoire a pris une tournure officielle lorsque l’un des gendarmes, apparemment préoccupé par l’impact négatif de ces clichés sur l’image de la gendarmerie, a dénoncé l’affaire à Mediapart. Selon ses déclarations, ces photos auraient été publiées en novembre dernier, provoquant des réactions indignées au sein de l’institution militaire. L’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale (IGGN) aurait été saisie de l’affaire, lançant ainsi une enquête interne pour faire la lumière sur cette affaire controversée.

En réaction aux allégations, un sous-officier de l’escadron mobile antibois aurait été provisoirement sanctionné. 

Cette mesure souligne la gravité de la situation et suggère que les autorités militaires prennent au sérieux les implications déontologiques et morales de ces actions. Les sanctions temporaires indiquent également une volonté de maintenir l’intégrité de l’institution et de répondre de manière appropriée à un comportement considéré comme inacceptable.

Rédigé par pandore

Laisser un commentaire

Une cérémonie publique lundi en hommage au gendarme décédé

Flashé par les gendarmes à 272 km/h sur l’autoroute A1