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Un militaire français tué au Mali.

This handout undated picture released by the French Army on July 23, 2020 shows France's hussar paratrooper first class soldier Tojohasina Razafintsalama who died on July 23, 2020 during an operation of France's anti-jihadist Barkhane force in Mali. France's soldier Tojohasina Razafintsalama, from Tarbes, southern France was killed, "during fighting against armed terrorist groups", announced the Elysee Palace. - RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT "AFP PHOTO / FRENCH ARMY" - NO MARKETING - NO ADVERTISING CAMPAIGNS - DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS / AFP / FRENCH ARMY / Handout / RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT "AFP PHOTO / FRENCH ARMY" - NO MARKETING - NO ADVERTISING CAMPAIGNS - DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS

Quarante-trois soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014).

Un militaire de la force française Barkhane au Sahel a été tué, jeudi 23 juillet, dans la région de Gossi, dans le centre du Mali, « lors de combats contre les groupes armés terroristes », ont annoncé l’Elysée et l’armée française.

« L’engin blindé [dans lequel était le soldat] a sauté au contact d’un véhicule suicide chargé d’explosifs », a précisé la ministre des armées, Florence Parly, dans un communiqué. Lors de l’explosion, deux autres soldats présents dans le véhicule, qui était en mission de reconnaissance, ont également été blessés, puis évacués dans un état grave vers l’hôpital militaire de Gao avant d’être rapatriés dans la soirée, en France.

Le soldat tué, Tojohasina Razafintsalama, était né le 20 octobre 1994 à Mahazarivo, à Madagascar. Ce célibataire sans enfant s’était engagé avec le 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes en 2018 et avait été déployé au Mali le 14 juillet 2020.

Un sommet du G5 Sahel à Pau, en janvier, puis à Nouakchott, la capitale mauritanienne, le 30 juin avait permis aux protagonistes de réitérer leur détermination à poursuivre le combat.

Ces derniers mois, l’armée française et celles des pays du G5 Sahel ont multiplié les offensives, en particulier dans la zone dite des « trois frontières » entre Mali, Niger et Burkina Faso. Elles ont revendiqué la « neutralisation » de plusieurs dizaines de djihadistes, dont l’émir d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), l’Algérien Abdelmalek Droukdal, en juin.

Source: le Monde

Rédigé par Pandore

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